Miscellanées médicamenteuses et neurologiques, alcooliques et stupéfiantes
Jean-Yves Nau
Rev Med Suisse
2018; volume 14.
1678-1678
Méningiome et acétate de cyprotérone : une impasse thérapeutique ?C’est une alerte doublée d’une équation qui, pour l’heure, semble sans solution. L’affaire est exposée dans le détail sur le site de l’Agence nationale française de sécurité sociale (ANSM).1 Cœur du sujet : l’Androcur, un médicament présent sur le marché français depuis près de quarante ans (où il est également commercialisé sous le nom générique d’acétate de cyprotérone) – un dérivé de la progestérone ayant des propriétés antiandrogéniques et deux présentations.Cette spécialité est indiquée chez la femme, dans le traitement de certaines maladies hormonales se manifestant par une augmentation du système pileux (hirsutisme). Chez l’homme, elle est préconisée dans certaines formes de cancer de la prostate. Elle peut aussi être indiquée dans la « réduction des pulsions sexuelles dans les paraphilies en association à une prise en charge psychothérapeutique ».On sait aussi, depuis près de dix ans, en France notamment, qu...
S'identifier
Ce contenu est réservé aux abonnés de la Revue Médicale Suisse.
Si votre login ne fonctionne pas, contactez-nous à commandes@medhyg.ch
Connexion
S'abonner
La Revue Médicale Suisse est une revue hebdomadaire dédiée à la formation continue des médecins de premiers recours et spécialistes. L'abonnement donne accès à la revue en ligne et aux applications médicales.
S'abonner