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Cet ouvrage en analyse les différentes modalités : élection de délégués sous les auspices de la direction d’établissement, création de syndicats dans le cours de révoltes carcérales, ou encore tentatives de démocratisation des prisons...
Que des détenus soient élus pour porter une parole collective face aux autorités carcérales, voici qui semble relever de la pure fiction… utopie pour les uns, cauchemar pour d’autres. Pourtant, non seulement un tel projet a fait l’objet d’une expérimentation lancée par l’administration pénitentiaire au début des années 2010, mais encore la participation des personnes détenues au gouvernement carcéral compose une constante méconnue de l’histoire des prisons. Sous la forme de pratiques subversives ou disciplinaires, de révoltes ou de propositions réformatrices, cette participation est loin d’être seulement une projection de l’imagination.
Cet ouvrage en analyse les différentes modalités : élection de délégués sous les auspices de la direction d’établissement, création de syndicats dans le cours de révoltes carcérales, ou encore tentatives de démocratisation des prisons... Il s’appuie à la fois sur une étude sociohistorique et sur l’évaluation de l’expérimentation d’un droit d’expression collective des personnes détenues entre 2010 et 2012. Pourquoi ces pratiques peinent-elles à s’institutionnaliser ? Et, plus profondément, quels effets ont elles sur la logique carcérale ? En s’appuyant sur différents discours – des personnes détenues, des mouvements de contestation de la prison, des coalitions réformatrices, des acteurs gouvernementaux et pénitentiaires – l’enquête chemine du passé vers le présent d’une question qui est loin, aujourd’hui encore, d’être close.
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