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| ISO 690 | QCM D’AUTOÉVALUATION, Med Hyg, 2003/2433 (Vol.61), p. 840–840. DOI: 10.53738/REVMED.2003.61.2433.0840 URL: https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2003/revue-medicale-suisse-2433/qcm-d-autoevaluation |
|---|---|
| MLA | QCM D’AUTOÉVALUATION, Med Hyg, Vol. 61, no. 2433, 2003, pp. 840–840. |
| APA | (2003), QCM D’AUTOÉVALUATION, Med Hyg, 61, no. 2433, 840–840. https://doi.org/10.53738/REVMED.2003.61.2433.0840 |
| NLM | QCM D’AUTOÉVALUATION. Med Hyg. 2003; 61 (2433): 840–840. |
| DOI | https://doi.org/10.53738/REVMED.2003.61.2433.0840 |
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Articles: allergo-immunologie
16 avril 2003
QCM D’AUTOÉVALUATION
DOI: 10.53738/REVMED.2003.61.2433.0840
«Vrais» et «faux» angiœdèmes
(voir article p. 799)
1. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) correctes ?
Un angiœdème (AE) isolé évoque en premier lieu une réaction IgE médiée
Les pénicillines sont les molécules les plus souvent incriminées dans les AE médicamenteux
Le traitement d’urgence de l’AEH sévère repose principalement sur l’administration d’un composant du système du complément
Le traitement d’urgence d’un AEH sévère comprend une injection d’adrénaline
Toutes ces propositions sont fausses
Antileucotriènes sont-ils utiles ?
(voir article p. 805)
2. Quelles sont la ou les indication(s) en première intention des antileucotriènes à l’heure actuelle ?
L’asthme modéré sans traitement de fond
L’asthme d’effort
La dermatite atopique
L’urticaire chronique
L’hypersensibilité aux antiinflammatoires non stéroïdiens
Du syndrome sec au syndrome de Sjögren
(voir article p. 811)
3. Les facteurs de risque d’évolution d’un syndrome de Sjögren vers un syndrome lymphoprolifératif sont :
Un abaissement de la fraction C4 du complément
Une tuméfaction récidivante des glandes parotides
Une élévation de la vitesse de sédimentation
Un purpura palpable
Un facteur anti-nucléaire positif à plus de 1/320
Vaccination et auto-immunité : quel est le problème ?
(voir article p. 817)
4. Dans une sclérose en plaque récidivante la vaccination contre la grippe :
Est possible
Est contre-indiquée
Est fortement recommandée
Doit être retardée
Connectivite mixte : mise au point
(voir article p. 823)
5. La connectivite mixte est une entité clinique caractérisée par les éléments suivants :
Phénomènes de Raynaud
Doigts boudinés
Anticorps anti-RNP
Tous ces éléments
Aucun de ces éléments
Approche anti-inflammatoire de la rhinite allergique
(voir article p. 836)
6. Parmi les propositions suivantes laquelle (lesquelles) est (sont) correcte(s)?
L’entrée en action des antihistaminiques est plus rapide que celle des corticostéroïdes topiques
Dans la rhinite allergique, les antihistaminiques et les corticostéroïdes ont un effet anti-inflammatoire équivalent
L’obstruction nasale est mieux contrôlée par les corticostéroïdes topiques que par les antihistaminiques
Vu le peu de conséquences de l’inflammation nasale chronique provoquée par la rhinite allergique, un traitement n’est pas impératif
Il n’y a aucune association entre rhinite allergique et asthme
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