Plusieurs centaines d’études, un consensus scientifique, une obligation légale et une évidence pour beaucoup. Pourtant, à plusieurs reprises, se sont tenus des rassemblements d’opposition au port du masque.
Admirée pour sa maîtrise sanitaire et économique de la première vague, la Suisse est aujourd’hui montrée du doigt à l’étranger pour sa gestion de la deuxième vague: le pays a l’un des taux de mortalité les plus élevés au monde, il est, cet automne, l’un des plus infectés
Cet article résume le contenu d’un colloque participatif interprofessionnel en ligne de 2 jours visant à faire un état des lieux et à élaborer des réponses à la situation des adolescent·e·s à l’ère du Covid. La pandémie affecte leur santé en réduisant l’accès aux soins (confinement) et en induisant des problèmes psychologiques chez certains d’entre eux
La course aux traitements s’accélère. Parmi les molécules retenues, on trouve le Remdsevir. Que faut-il en penser ?
Il s’agit d’une étude non randomisée utilisant une approche d’immunothérapie par l’injection de sérum provenant de patients convalescents.
Un des grands enjeux, fortement discuté, dans les propositions efficaces conseillées pour maitriser l’évolution de la pandémie actuelle, est celui du port du masque. Comment éviter la propagation de la maladie ? Toutes les mesures prises (confinement, fermeture des frontières, fermeture des écoles quarantaine etc.) l’ont été dans le but d’éviter la contamination de personne à personne.
Nous avons déjà rapporté, il y a peu dans ces colonnes,1 les premiers éléments d’une polémique grossissante, en France : « l’affaire de la chloroquine » déclenchée et alimentée par le Pr Didier Raoult (Institut hospitalo-universitaire Méditerranée, Marseille). Un phénomène sans précédent. Il y eut, pour commencer une vidéo provocatrice et hautement médiatisée de ce spécialiste, expert internationalement reconnu dans le champ de la lutte contre les maladies infectieuses.
La pandémie actuelle du Covid-19 impose une stratégie diagnostique pour la prise en charge des patients. La performance du frottis nasopharyngé avec analyse par PCR peut être estimée sur la base des premières données bibliographiques. Celles-ci, certes de qualité faible, montrent une sensibilité de 56 à 83 % pour la PCR Covid-19.
Et après ? C’est la question à des milliers de milliards de dollars, aux graves soucis sanitaires s’ajoutent les énormes bouleversements dans l’économie. « Vous vouliez la décroissance, eh bien vous l’avez », a dit sur un mode martialement critique, le 19 mars sur La Première, une personnalité politique vaudoise.
Les épidémies peuvent, aussi, être de puissants révélateurs de pratiques méconnues. C’est le cas aujourd’hui en France avec la progression de l’épidémie de Covid-19.
Face à la folie du temps, au rugissement des éléments, aux situations de crise où la vie des humains se réduit à l’essentiel, chaque époque a eu son refuge, qui était aussi son mythe. Les croyances, les églises, les rois, les empereurs – et les mondes que tout cela mettait en scène. En ce temps de pandémie, c’est le système de santé.
Face au SARS-CoV-2, faute de disposer, avant longtemps, d’un vaccin, c’est un premier espoir thérapeutique à l’échelon du Vieux Continent. Dénommé Discovery, un essai clinique sans précédent visant à évaluer l’efficacité de plusieurs traitements de la maladie Covid-19 vient d’être lancé.
Le coronavirus a bien quelque chose d’un prince : sa réputation le précède, sa visite se prépare longtemps à l’avance, au sommet de l’État. À peine trouvait-on en Europe la moindre particule virale, tout juste commençait-on à chercher la petite bête (dans le nez de quelque infortuné malade) que, déjà, le pays bruissait de rumeurs à son propos.
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