Gériatrie
En 2013, les évidences sont venues renforcer l’importance de la promotion de l’activité physique, aussi bien en ce qui concerne les trajectoires de déclin fonctionnel en fin de vie, qu’après chute, ou en termes de prévention du déclin cognitif. Si la nécessité de mieux coordonner nos prises en charge via une collaboration accrue entre professionnels, notamment médecins et infirmiers(ières), est largement reconnue, une étude souligne le chemin à parcourir en décrivant les écarts importants de vision de leurs rôles respectifs par ces deux groupes professionnels. On semble mieux vieillir cognitivement aujourd’hui qu’il y a dix ou vingt ans, tant mieux car, du côté thérapeutique, on reste dans le néant. Finalement, une étude remet sérieusement en question l’intérêt de l’hydratation terminale «de confort» en fin de vie.