La résistance au traitement en psychiatrie peut découler de multiples causes ; deux stratégies pouvant améliorer ce problème sont abordées dans cet article. En premier lieu, le rôle des proches des patients ; au-delà d’interventions de thérapie de famille, la mise en place de groupes de proches permet d’augmenter leurs compétences à aider leur proche malade et de s’entraider dans cette démarche. Et enfin, l’option que peuvent constituer les approches de psychiatrie interventionnelle. Ces méthodes se sont grandement enrichies au cours des dernières années et sont maintenant accessibles dans l’Unité de psychiatrie interventionnelle récemment ouverte dans le nouvel hôpital psychiatrique de Cery, récemment inauguré à Lausanne.
À faible dose, la kétamine a démontré un effet antidépresseur robuste et rapide grâce à un mécanisme d’action différent des traitements usuels. Elle figure désormais dans plusieurs recommandations internationales portant sur le traitement de la dépression résistante. Elle peut être administrée dans un cadre ambulatoire ou hospitalier, généralement par voie intraveineuse ou intranasale, moyennant le respect de consignes de sécurité. L’intérêt grandissant qu’elle suscite s’étend à d’autres troubles psychiatriques résistants, en particulier les troubles anxieux et l’abus de substances. La kétamine est un traitement innovant et prometteur qui enrichit l’éventail des possibilités thérapeutiques en psychiatrie. Nous proposons ici de faire le point sur son utilisation actuelle en clinique.
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