Covid long : aspects neurologiques
L’étude de la symptomatologie post-Covid-19 a permis de mettre en évidence une première vague de symptômes neurocognitifs postaigus (persistance des symptômes inférieurs à 3 mois).
L’étude de la symptomatologie post-Covid-19 a permis de mettre en évidence une première vague de symptômes neurocognitifs postaigus (persistance des symptômes inférieurs à 3 mois).
Au décours de la pandémie de SARS-CoV-2 sont apparus chez de nombreux patients un ensemble de symptômes persistants et invalidants, communément appelé « Covid long » et défini comme « affection post-Covid-19 » par l’OMS.
Dans les mois qui ont suivi la vague initiale de Covid, les cliniciens ont constaté et décrit, chez une proportion élevée de patients, des symptômes et signes résiduels touchant différents systèmes dans les semaines et les mois suivant la phase aiguë d’une infection à SARS-CoV-2, avec le potentiel d’affecter négativement de manière significative l’état de santé de la population
Au décours d’une énième vague de pandémie, le nombre d’individus ayant contracté le virus SARS-CoV-2 ne cesse de croître. Certaines personnes revendiquent des symptômes qui persistent des mois après l’infection.
Le coronavirus-2 du syndrome de détresse respiratoire aiguë sévère (SARS-CoV-2), un coronavirus jusqu’ici inconnu, a été isolé en janvier 2020, quelques mois après une épidémie à Wuhan, province du Hubei, Chine.
L’ivermectine, un antihelminthique connu de longue date, a révélé une activité antivirale contre un certain nombre de virus, y compris SARS-CoV-2, grâce à sa capacité d’interférer avec l’importation nucléaire de certaines protéines virales
Cette étude décrit l’évolution et la persistance des symptômes du Covid-19 chez des patients ambulatoires à Genève du jour 1 aux jours 30 à 45 après le diagnostic. Seules les personnes symptomatiques ont été testées pendant cette période. Étant donné que de nombreux cabinets médicaux étaient fermés, les personnes qui n’étaient pas hospitalisées au départ pouvaient bénéficier d’un suivi à distance avec un centre de soins ambulatoires (un processus appelé COVICARE). Les critères d’exclusion étaient le refus de donner son consentement et des motifs administratifs (résidant hors du canton de Genève).
Il y quelques jours, dans ces colonnes, quatre spécialistes du CHUV de Lausanne faisaient le point complet sur un phénomène émergent, celui de l’association pouvant exister entre une anosmie (associée ou non à une dysgueusie) et l’infection par le SARS-CoV-2 responsable du COVID-19. "Elle peut être le symptôme initial de la maladie ou rester isolée chez certains patients paucisymptomatiques", résumaient-ils.
La sélection pour tester les patients fait suite à des symptômes respiratoires aigus ((toux dyspnée et fièvre). Cette stratégie prend en compte la présentation symptomatique typique, mais identifie imparfaitement les manifestations inhabituelles, telles que les patients sans symptômes respiratoires ou seulement des symptômes très légers. Une étude de modélisation largement citée a conclu que jusqu'à 86% des cas auraient pu être manqués en Chine, et les rapports de patients présentant des symptômes inhabituels augmentent dans le monde entier.
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