Le dosage et la supplémentation en vitamine D demeurent courants malgré un niveau de preuves toujours plus robuste concernant l'absence de bénéfice clinique, sauf dans certains cas précis.1-2 Cela génère des coûts non négligeables pour notre système de santé. 3 Ainsi, dans le cadre de la campagne « smarter medicine », la Société Suisse de Médecine Interne Générale propose de ne pas mesurer la vitamine D chez les personnes ne présentant pas de facteurs de risque de carence.


