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ISO 690 Cometta, A., Risque de transmission du virus de l’hépatite C lors de gastroscopie, Rev Med Suisse, 2005/033 (Vol.1), p. 2190–2190. DOI: 10.53738/REVMED.2005.1.33.2190 URL: https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2005/revue-medicale-suisse-33/risque-de-transmission-du-virus-de-l-hepatite-c-lors-de-gastroscopie
MLA Cometta, A. Risque de transmission du virus de l’hépatite C lors de gastroscopie, Rev Med Suisse, Vol. 1, no. 033, 2005, pp. 2190–2190.
APA Cometta, A. (2005), Risque de transmission du virus de l’hépatite C lors de gastroscopie, Rev Med Suisse, 1, no. 033, 2190–2190. https://doi.org/10.53738/REVMED.2005.1.33.2190
NLM Cometta, A.Risque de transmission du virus de l’hépatite C lors de gastroscopie. Rev Med Suisse. 2005; 1 (033): 2190–2190.
DOI https://doi.org/10.53738/REVMED.2005.1.33.2190
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21 septembre 2005

Risque de transmission du virus de l’hépatite C lors de gastroscopie

DOI: 10.53738/REVMED.2005.1.33.2190

Un risque de transmission du virus de l’hépatite C (VHC) a été démontré lors d’opérations cardiovasculaires, orthopédiques ou gynécologiques. Ce risque existe-t-il lors de gastroscopie (OGD), le nettoyage et la désinfection des endoscopes étant difficiles? Des auteurs italiens ont comparé l’incidence duVHC dans une cohorte de 9188 patients VHC négatif ayant subi une OGD et une cohorte de 51230 donneurs de sang. Les trois unités d’endoscopie nettoyaient et désinfectaient les endoscopes selon les recommandations internationales publiées. Sixmois après l’OGD, 8260 patients (92%) ont été retestés et tous étaient VHC négatif. Parmi eux, 912 patients à risque définis par une OGD effectuée avec un endoscope utilisé le même jour chez un patient VHC+ étaient aussi négatifs. Parmi les donneurs de sang, quatre sont devenus VHC+ (taux de séroconversion de 0,042/1000 personnes-années) et avaient tous subi une intervention chirurgicalemineure dans les deux à quatre mois précédant le deuxième test. Commentaire: cette étude démontre que

si les recommandations de désinfection sont appliquées, le risque de transmission du VHC lors d’une OGD est négligeable. Il n’est cependant pas nul, comme le montre la limite supérieure de l’intervalle de confiance à 95% dans le sous-groupe à risque (estimé à 4,2%). Un enseignement régulier et une surveillance rigoureuse des pratiques de nettoyage et de désinfection des endoscopes sont primordiaux si l’on veut maintenir le risque de transmission du VHC très bas lors d’OGD.

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Alain Cometta

Auteurs

Alain Cometta

Service des maladies infectieuses Département de médecine interne
CHUV 1011 Lausanne

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