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ISO 690 | Berney, S., Après la dépression, l’infarctus ?, Rev Med Suisse, 2010/272 (Vol.6), p. 2263–2263. DOI: 10.53738/REVMED.2010.6.272.2263 URL: https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2010/revue-medicale-suisse-272/apres-la-depression-l-infarctus |
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MLA | Berney, S. Après la dépression, l’infarctus ?, Rev Med Suisse, Vol. 6, no. 272, 2010, pp. 2263–2263. |
APA | Berney, S. (2010), Après la dépression, l’infarctus ?, Rev Med Suisse, 6, no. 272, 2263–2263. https://doi.org/10.53738/REVMED.2010.6.272.2263 |
NLM | Berney, S.Après la dépression, l’infarctus ?. Rev Med Suisse. 2010; 6 (272): 2263–2263. |
DOI | https://doi.org/10.53738/REVMED.2010.6.272.2263 |
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Difficile d’évaluer l’impact d’un trouble psychologique sur une maladie biologique comme la coronaropathie, dont les facteurs de risque sont bien établis.
C’est pourtant ce qu’a entrepris un groupe de chercheurs américains dont les résultats sont publiés dans le Journal of Thoracic and Cardiovascular Surgery.1
Une analyse rétrospective réalisée parmi des patients hospitalisés pour by-pass coronarien a montré que les sujets décédés durant le séjour avaient présenté plus de dépression et de syndrome d’état de choc post-traumatique (ou les deux à la fois) que les sujets survivants. Par ailleurs, la prévalence de ces pathologies était plus élevée chez les patients subissant un by-pass coronarien que dans la population normale. Le risque de décès attribué à ces pathologies psychiatriques suite à une telle opération était comparable à d’autres facteurs de risque clairement établis.
En conclusion, la dépression pourrait jouer un rôle important dans la genèse des pathologies cardiovasculaires. A suivre…
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