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ISO 690 | Antiochos, P., Muller, O., Kirsch, M., Agostini, M., Qanadli, S., Eeckhout, E., Vogt, P., Prêtre, R., Delabays, A., Jeanrenaud, X., Monney, P., L’insuffisance mitrale : mise au point en 2016, Rev Med Suisse, 2016/520 (Vol.12), p. 1042–1048. DOI: 10.53738/REVMED.2016.12.520.1042 URL: https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2016/revue-medicale-suisse-520/l-insuffisance-mitrale-mise-au-point-en-2016 |
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MLA | Antiochos, P., et al. L’insuffisance mitrale : mise au point en 2016, Rev Med Suisse, Vol. 12, no. 520, 2016, pp. 1042–1048. |
APA | Antiochos, P., Muller, O., Kirsch, M., Agostini, M., Qanadli, S., Eeckhout, E., Vogt, P., Prêtre, R., Delabays, A., Jeanrenaud, X., Monney, P. (2016), L’insuffisance mitrale : mise au point en 2016, Rev Med Suisse, 12, no. 520, 1042–1048. https://doi.org/10.53738/REVMED.2016.12.520.1042 |
NLM | Antiochos, P., et al.L’insuffisance mitrale : mise au point en 2016. Rev Med Suisse. 2016; 12 (520): 1042–1048. |
DOI | https://doi.org/10.53738/REVMED.2016.12.520.1042 |
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Mitral regurgitation (MR) is the most frequent valvular disease in industrialised countries. MR is classified as primary (mostly degenerative with valve prolapse) or secondary (mainly due to underlying ischemic heart disease resulting in deformation of the valve structure). Surgical repair represents the optimal treatment for severe primary MR, whereas the benefits of surgical correction of secondary MR are controversial. Over the past few years, transcatheter techniques have been developed to treat MR, such as the percutaneous edge-to-edge procedure (MitraClip). These approaches represent a novel therapeutic choice for patients judged inoperable by the « heart team ». This review article aims to summarize the principles of MR assessment and discuss current therapeutic options for severe MR, taking into account the latest advances in the field.
L’insuffisance mitrale (IM) est une valvulopathie fréquente qui s’associe, lorsqu’elle est sévère, à un pronostic défavorable. On distingue l’IM organique, résultant d’une lésion de la valve elle-même, pour laquelle la place du traitement chirurgical est bien établie, et l’IM fonctionnelle, résultant d’une déformation de la valve, consécutive à une dilatation du ventricule gauche, pour laquelle l’efficacité d’une correction chirurgicale est controversée. Parallèlement à la chirurgie, de nouvelles techniques de réparation mitrale percutanée sont disponibles ou en cours de développement. Cet article a pour but de rappeler les principes de dépistage et d’évaluation d’une IM, et de présenter les options thérapeutiques actuelles de l’IM sévère d’après des publications récentes.
L’insuffisance mitrale (IM) est une pathologie fréquente, touchant 1,7 % de la population générale aux Etats-Unis.1 Elle est la deuxième valvulopathie en termes de prévalence après la sténose aortique,2 et s’associe à un pronostic défavorable lorsqu’elle devient sévère.3,4 Cet article rappellera l’anatomie de la valve, les mécanismes physiopathologiques et critères diagnostiques d’une IM, et passera en revue les options de traitements chirurgical et non chirurgical actuelles.
La valve mitrale est composée d’un anneau, de deux feuillets asymétriques et des cordages non élastiques attachés aux muscles papillaires, parties intégrantes du ventricule gauche (VG) (figure 1). Sa fonction repose sur une interaction coordonnée de chacun de ses composants, la défaillance d’un seul d’entre eux pouvant causer une IM significative. Il est donc essentiel de caractériser le mécanisme d’une IM au même titre que sa sévérité. On distingue ainsi deux grandes classes d’IM : l’IM primaire (ou organique) et l’IM secondaire (ou fonctionnelle).
L’IM primaire résulte d’une lésion de la valve elle-même (figure 2A), le plus souvent dégénérative (dégénérescence myxoïde ou fibro-élastique) ou inflammatoire (rhumatisme articulaire).2 En cas d’IM primaire, le VG est initialement de taille et de fonction normales, mais la surcharge de volume cause une dilatation progressive du ventricule et de l’oreillette gauches, et peut induire une dysfonction du VG. Au plan clinique, le patient développe un tableau d’insuffisance cardiaque gauche progressive, parfois déclenchée par un accès de fibrillation atriale.5 Le traitement de l’IM primaire est essentiellement chirurgical, permettant une amélioration du pronostic.3,6
L’insuffisance mitrale secondaire est la forme la plus fréquente d’IM dans la population.7 Elle survient en présence d’une cardiopathie dilatée – ischémique ou non ischémique – où la valve est de structure normale mais se trouve déformée par la dilatation de l’anneau et la traction exercée sur les feuillets par les cordages mitraux, consécutive au déplacement apical et latéral des muscles papillaires (figure 2B).8–10 En présence d’une dysfonction systolique du VG, l’IM secondaire confère un pronostic défavorable, tant dans la cardiopathie ischémique11,12 que dilatative.4,13 Le traitement chirurgical d’une IM secondaire est toutefois controversé, aucune étude n’ayant pu démontrer une amélioration en termes de survie.14,15
L’IM se dépiste lors de tout examen clinique. A l’auscultation, elle se caractérise par un souffle holosystolique d’intensité constante, débutant en même temps que le premier bruit cardiaque et s’arrêtant avec le second bruit cardiaque. Le souffle est ausculté à l’apex et irradie classiquement vers le creux axillaire. Toutefois, en présence d’un prolapsus du feuillet postérieur, le jet d’IM est dirigé antérieurement et causera une irradiation vers le foyer aortique. Dans les cas plus avancés ou associés à une insuffisance cardiaque, on notera la présence d’un B3 et d’un choc de pointe élargi.
L’échocardiographie transthoracique (ETT) est incontournable car elle permet en un seul examen de poser le diagnostic d’IM, d’en quantifier la sévérité, d’élucider son mécanisme, de juger de sa réparabilité et d’évaluer ses conséquences hémodynamiques en termes de dilatation des cavités cardiaques et de dysfonction systolique du VG, qui conditionneront l’indication opératoire.16 Le diagnostic d’IM et la quantification de sa sévérité sont essentiellement basés sur le Doppler couleur qui identifie un jet turbulent rétrograde à travers la valve mitrale. La taille de l’orifice régurgitant (ERO) peut être calculée à partir des signaux Doppler et représente le critère quantitatif principal de la sévérité de l’IM (figure 3).12,16,17 Le mécanisme et la réparabilité de l’IM sont évalués lors d’un examen systématique de la valve, de l’appareil sous-valvulaire et du ventricule gauche,18 qui permettra de caractériser l’IM selon la classification de Carpentier (tableau 1).19
Après l’évaluation par ETT, l’échocardiographie transœsophagienne avec reconstruction tridimensionnelle (ETO 3D) est aujourd’hui exigée avant toute approche correctrice puisqu’elle permet un examen morphologique détaillé de la valve et de l’appareil sous-valvulaire. L’ETO 3D visualise la valve mitrale dans la même orientation que la verrait le chirurgien durant l’opération (figures 2), ce qui permet une identification plus précise des lésions valvulaires et une meilleure évaluation de la réparabilité chirurgicale18 ou percutanée.20 L’ETO 3D couleur permet une mesure directe de la taille de l’orifice régurgitant et reflète plus précisément la sévérité des IM dont l’orifice est elliptique ou irrégulier (figure 4).21,22
Le traitement chirurgical d’une IM primaire ou secondaire peut faire appel à des techniques de réparation valvulaire mitrale ou de replacement valvulaire mitral. Ces techniques peuvent être effectuées de manière conventionnelle par sternotomie médiane ou par des approches dites « moins invasives » par mini-thoracotomies, assistées par thoracoscopie ou robotique. Ces dernières semblent pouvoir être réalisées avec des résultats similaires aux approches conventionnelles en termes de mortalité et de durabilité des réparations et permettent de réduire le saignement, les transfusions, les durées de ventilation, de séjour en réanimation et d’hospitalisation, avec en plus un bénéfice esthétique.23
Bien que techniquement plus exigeante, la réparation ou plastie valvulaire mitrale (PVM) est préférable au remplacement valvulaire mitral (RVM) car elle est associée à une meilleure préservation de la fonction ventriculaire gauche, une diminution de la mortalité périopératoire (PVM, 1,6-2,1 % versus RVM, 4,3-7,8 %), et à une meilleure survie avec une incidence moindre de complications thrombo-emboliques ou infectieuses à long terme.24
Les principes de la réparation mitrale ont été posés par Alain Carpentier au début des années 1970 et associent : 1) la préservation ou restauration d’un mouvement normal des feuillets valvulaires, 2) la création d’une surface de coaptation optimale des feuillets valvulaires et 3) un remodelage et la stabilisation de l’anneau mitral par annuloplastie (figure 5). Ces techniques, associant des résections de segments valvulaires, des transpositions de cordages ou diverses interventions sur l’appareil sous-valvulaire, ont permis d’obtenir des réparations extrêmement durables dans le temps avec des libertés actuarielles de réopération de 97 % à 10 et 20 ans après réparation d’un prolapsus du feuillet mitral postérieur.25,26 Les résultats ont été un peu moins favorables pour le prolapsus du feuillet mitral antérieur ou le prolapsus bivalvulaire associant aussi une insuffisance tricuspidienne.26
Plus récemment, la gamme de ces techniques classiques a été complémentée par l’introduction des cordages artificiels en poly-tétra-fluoro-éthylène (PTFE), qui permettent de corriger un prolapsus d’un ou des deux feuillets valvulaires sans résection tissulaire, avec des résultats satisfaisants à long terme.27,28 Une autre approche, la technique d’Alfieri, consiste à réaliser une suture bord à bord des deux feuillets valvulaires mitraux, permettant ainsi de corriger un prolapsus valvulaire mais aboutissant à une valve mitrale bi-orificielle. Cette technique a souvent été décriée comme palliative mais, à condition d’être associée à une annuloplastie, elle permet d’obtenir des réparations durables.29
Les facteurs qui prédisent un échec de réparation valvulaire par PVM comportent la présence d’un jet de régurgitation central très large, une dilatation de l’anneau mitral > 50 mm, l’implication de > 2 festons valvulaires, les calcifications extensives et les étiologies rhumatismales ou infectieuses.30
En cas d’impossibilité ou d’échec de la réparation, la valve mitrale peut être remplacée par une prothèse mécanique, une bioprothèse avec armature ou une homogreffe mitrale. Le choix du substitut valvulaire est essentiellement déterminé par l’espérance de vie du patient, l’existence de contre-indication éventuelle à une anticoagulation au long cours et les préférences du patient. Chez le patient âgé de plus de 70 ans, le choix se portera préférentiellement sur une bioprothèse, pour limiter les risques d’une complication liée au traitement anticoagulant au long cours.
Dans la technique de remplacement conventionnelle, la valve mitrale est excisée avec une partie de son appareil sous-valvulaire (cordages et têtes des piliers mitraux). Cette interruption de la continuité anatomique entre l’anneau mitral – qui fait partie intégrante du squelette fibreux du cœur – et la paroi ventriculaire gauche contribue aux modifications géométriques et à l’altération de la contractilité du VG en postopératoire.31 Ainsi, des techniques de remplacement valvulaire mitral avec préservation partielle ou totale ou reconstruction d’un appareil sous-valvulaire ont été proposées32 et ont permis une meilleure préservation de la géométrie et de la contractilité du VG en postopératoire.33
L’utilisation d’une homogreffe valvulaire mitrale a été préconisée par certaines équipes en raison de sa faible thrombogénicité, sa résistance à l’infection et la reconstruction d’un appareil sous-valvulaire. Toutefois, la mauvaise disponibilité, la difficulté technique de l’implantation et la mauvaise durabilité des homogreffes mitrales font que cette technique n’est actuellement plus usitée.34
Bien que la chirurgie reste le traitement de choix, environ 50 % des candidats à une intervention chirurgicale de la valve mitrale ne sont pas opérés, principalement en raison du risque opératoire (dysfonction gauche sévère, comorbidités majeures, âge avancé).35 Les risques chirurgicaux peuvent être calculés sur la base des scores cliniques tels que le STS-PROM (Society of Thoracic Surgeons-Predicted Operative Mortality), mais le risque de certains patients échappe à ces scores, en particulier en cas d’aorte porcelaine, d’une fragilité importante de la personne ou de dysfonction irréversible d’organes. En outre, le traitement chirurgical de l’IM secondaire reste particulièrement problématique, la majorité des études ayant échoué à démontrer une amélioration du pronostic.15
Le développement de techniques percutanées permet d’offrir une option de traitement à certains patients à risque chirurgical élevé. Plusieurs dispositifs de traitement percutané, dont le MitraClip, ont reçu le label de conformité européenne (CE Mark), et visent à corriger l’IM en fonction des mécanismes de l’atteinte valvulaire.36,37
Cette technique reproduit par voie percutanée le point d’Alfieri qui consiste à suturer bord à bord le feuillet antérieur au feuillet postérieur au niveau de l’orifice régurgitant afin de réduire ainsi la surface de régurgitation (figure 6).38 C’est l’approche percutanée actuellement la plus répandue, avec plus de 30 000 patients traités à ce jour en Europe. Les recommandations européennes préconisent l’implantation d’un MitraClip en cas d’IM primaire ou secondaire sévère, symptomatique, avec une anatomie favorable, un risque chirurgical jugé élevé par un « Heart team » pluridisciplinaire, et une espérance de vie > 1 année (classe IIB).16
L’étude prospective, multicentrique, randomisée EVEREST II a comparé le MitraClip à la chirurgie valvulaire mitrale chez les patients ayant une IM sévère d’origine primaire (73 %) ou secondaire (27 %). EVEREST II a prouvé que le clip mitral constitue, avant tout, une procédure sûre avec le même taux de mortalité que la chirurgie (6 % vs 6 %) à douze mois.40 A cinq ans de suivi, même si le taux d’IM significative était supérieur (12,3 % vs 1,8 %) et la nécessité d’une nouvelle réparation chirurgicale plus élevée (27,9 % vs 8,9 %) dans le groupe MitraClip, le nombre de patients en classe fonctionnelle NYHA III-IV a pu être significativement réduit de 50 à 8,9 % après implantation du MitraClip.41
La sécurité de la procédure ainsi que l’impact favorable sur les symptômes (réduction des classes NYHA III-IV de 84,9-88,4 % à 25,8-35,9 % à douze mois) ont été démontrés dans plusieurs registres de patients à haut risque.41–44 Le récent registre américain, incluant 564 patients avec IM primaire, confirme notamment que le MitraClip permet de traiter des patients à haut risque chirurgical (STS-PROM moyen 7,9 %) avec sécurité (mortalité intrahospitalière 2,3 % et mortalité à 30 jours 5,8 %). Dans ce registre, 93 % des patients quittaient l’hôpital avec une IM ≤ 2/4 après un séjour moyen de trois jours (1-6 jours), avec 84 % de retours à domicile.46
L’utilité des approches percutanées en cas d’IM secondaire sévère est moins bien documentée et des études randomisées comparant le MitraClip au traitement médicamenteux sont actuellement en cours (RESHAPE, COAPT, MitraFr). Les données des registres41–44 qui ont inclus majoritairement (> 70 %) des patients avec IM secondaire, semblent toutefois indiquer une sécurité élevée et un impact favorable sur les symptômes d’insuffisance cardiaque.
Il s’agit des méthodes qui ciblent une correction de l’appareil mitral, une plastie percutanée des feuillets, de l’anneau, des cordages ou même du VG.
L’annuloplastie percutanée indirecte consiste en l’introduction d’un anneau prothétique par le sinus coronaire afin de ceinturer la valve mitrale, le principe reposant sur la proximité anatomique du sinus coronaire et de l’anneau mitral postérieur.46 L’annuloplastie directe par implantation du système Cardioband (Valtechcardio), via un accès transseptal, représente une alternative à l’annuloplastie indirecte et vient de recevoir le label de conformité européenne. Une étude de faisabilité montre que chez des patients avec une IM secondaire, un succès de 82 % (IM ≤ 2/4) pouvait être atteint sans problème en termes de sécurité.47
Différents systèmes d’implantation de cordages artificiels par voie transapicale ou transseptale sont en cours d’investigation, et des dispositifs implantés autour de la base du VG par chirurgie minimalement invasive et visant à limiter la dilatation ventriculaire sont en cours d’étude clinique.48
Le remplacement valvulaire mitral percutané (Transcatheter Mitral Valve Implantation ; TMVI) fait également l’objet d’une recherche active et plusieurs types de prothèses sont en développement. Les expériences préliminaires ont démontré la faisabilité de TMVI, mais l’efficacité et la sécurité d’une telle approche restent à démontrer dans de larges études.48
L’IM est une pathologie fréquente qui impacte le pronostic des patients lorsqu’elle est sévère. Une caractérisation soigneuse de la sévérité ainsi que du mécanisme de l’IM par ETT est indispensable pour orienter le patient vers le traitement le plus approprié. L’IM sévère primaire relève essentiellement d’un traitement chirurgical et la plastie avec anneau représente le traitement de choix si la morphologie des lésions valvulaires le permet. La place de la chirurgie dans l’IM secondaire est plus incertaine et elle se pratique communément en association avec un geste de revascularisation (pontages coronariens). Chez les patients symptomatiques à haut risque chirurgical, la plastie mitrale percutanée par MitraClip représente une alternative. Cette procédure présente un bon profil de sécurité et permet une réduction des symptômes d’insuffisance cardiaque. Plusieurs études randomisées en cours ont pour but de préciser la place du MitraClip dans la prise en charge des patients insuffisants cardiaques avec IM sévère secondaire.
Les auteurs n’ont déclaré aucun conflit d’intérêts en relation avec cet article.
▪ L’insuffisance mitrale (IM) est une affection fréquente qui a des répercussions sur le pronostic des patients. Elle mérite d’être dépistée par auscultation cardiaque lors de la consultation de médecine générale
▪ L’évaluation de l’IM est essentiellement réalisée par échocardiographie transthoracique, qui permettra de quantifier la sévérité de la fuite, son mécanisme et ses répercussions sur la morphologie et la fonction des cavités cardiaques. Si une réparation est envisagée (chirurgicale ou percutanée), une évaluation détaillée de l’IM par échographie transœsophagienne 3D est nécessaire
▪ La plastie mitrale est la technique chirurgicale de choix pour le traitement des IM primaires. Le remplacement valvulaire est indiqué dans les cas où la plastie n’est pas réalisable ou en cas d’échec de plastie
▪ La chirurgie de l’IM secondaire est controversée, la majorité des études ayant échoué à démontrer un bénéfice en termes de survie
▪ La plastie mitrale percutanée (MitraClip) est une procédure à faible risque qui s’associe à une réduction de la sévérité de l’IM et une amélioration des symptômes sur un suivi de cinq ans. Cette option peut être considérée pour les patients jugés à haut risque chirurgical par un « Heart team » multidisciplinaire
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