Il est important de comprendre l’immunité acquise contre SARS-CoV-2 en vue du développement vaccinal, pour comprendre la pathogenèse de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), et pour la calibration des mesures de contrôle de la pandémie.
En Suisse, nous subissons une deuxième vague d’une intensité qui nous place au premier rang en comparaison internationale, et qui va très probablement s’étaler encore plusieurs mois et se traduire par une morbidité et une mortalité ainsi que par un coût économique sans précédent.
Les travailleurs de la santé qui sont en contact avec les patients courent un risque accru d'infection par le SRAS-CoV-2. De plus ils peuvent transmettre le virus aux membres de leur famille et à d'autres contacts privés. Une première estimation de l'ampleur de ce risque provient d'une analyse d’une cohorte de travailleurs employés par le Scottish National Health System dans lequel travaille 79% de femmes. La cohorte comprenait 158 445 travailleurs de la santé, la plupart (90 733; 57,3%) faisant face aux patients, et 229 905 membres du ménage.
Des tests de diagnostic rapides et précis sont essentiels pour contrôler la pandémie de Covid-19. Bien que la norme actuelle implique l'analyse d'échantillons sur écouvillon nasopharyngé par PCR pour détecter le SRAS-CoV-2, les échantillons de salive pourraient être un autre type de prélèvement adéquat pour le diagnostic. Cette étude s’intéresse à la comparaison des deux méthodes.
Dans ce papier de perspective, Gandhi et al passent en revue les arguments supportant l’hypothèse selon laquelle le portage universel du masque, même en cas d’échec d’un masque à protéger de la transmission par SARS-CoV-2, conduit à une sévérité moindre de la maladie par la réduction de la charge virale à laquelle est exposé l’individu susceptible.
Parmi les très nombreux projets de vaccin en développement, deux ont donné récemment lieu à des publications rendant compte d’études de phase 1/2.
Il existe dans la littérature des rapports de cas individuels indiquant la forte possibilité de transmission du COVID-19 provenant d’une personne sans symptômes, mais qui en ont développés par la suite. Etude portant sur 7 clusters chinois.
La course aux traitements s’accélère. Parmi les molécules retenues, on trouve le Remdsevir. Que faut-il en penser ?
Il s’agit d’une étude non randomisée utilisant une approche d’immunothérapie par l’injection de sérum provenant de patients convalescents.
Le produit a bien été ajouté au panier ! Vous pouvez continuer votre visite ou accéder au panier pour finaliser votre commande.
Veuillez entrer votre adresse email ci-dessous pour recevoir un lien de réinitialisation de mot de passe
Vous pouvez créer votre nouveau mot de passe ici
Certains de ces cookies sont essentiels, tandis que d'autres nous aident à améliorer votre expérience en vous fournissant des informations sur la manière dont le site est utilisé.
Les cookies nécessaires activent la fonctionnalité principale. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.